La France des Lumières s'est éteinte.
L’Union Européenne est à la dérive et l’économie du pays est gangrénée par l’incompétence des pouvoirs politiques. La France est devenue le tiers-monde qui tente de protéger son industrie aéronautique et celle du luxe. Son niveau scolaire est l’un des plus faibles d’Europe, alors à défaut d’étudier les mathématiques et la grammaire française, elle propose des cours de cuisine comme si la « bouffe » était devenue le seul enjeu culturel, social et sanitaire.
Les grèves permanentes considérées comme un droit ultime, trimbalent avec elles les mêmes voyous qui se disent de nationalité française et qui au nom de «Allah akbar», s’approprient tout ce qu’ils trouvent pour casser du flic qui n’en peut plus de subir pour rien.
Les français passent leur temps à discuter, à palabrer, sans jamais prendre de décision, comme s’ils avaient peur d’être obligé de réagir : « des veaux », disait Charles de Gaulle. En fanfare, dans le sang et la lumière, au prétexte d’une tradition, ils continuent d’applaudir la souffrance animale dans des jeux du cirque, s’inventent des droits de chasser pour se prévaloir du privilège de porter une arme et se goinfrent du foie gras des producteurs de stéatose hépatique.
Alors, dans un prétendu élan de solidarité, ils laissent s’installer une autre civilisation empreinte d’idéologie pour promouvoir la vision d’un Islam que l’on dit politique.
Depuis les défaites d'Alésia, Azincourt, Waterloo ou mai 1940, la France est restée inerte face aux nouvelles formes d'agression que sont l'Islamisme, le Wokisme, les Black blocs ou les syndicats d'extrême gauche.
J’ai dit.